dimanche 30 janvier 2011

La lutte continue: Votons Front de Gauche!

Roland Diagne et Dominique Guérandel pour le canton de Villeneuve d'Ascq Nord


Le FRONT de Gauche, c’est quoi ?
Après 2005, dans la foulée de la victoire du référendum contre le projet de constitution « Libéral » Européen, bon nombre de militants et de militantes ont eu la volonté de donner un débouché politique plus uni à cette orientation claire de rupture avec la capitalisme. (Cliquer sur la date pour lire la suite)

mardi 25 janvier 2011

« DROITS DE L’HOMME » OU « DROITS HUMAINS » ? Le sexisme à fleur de mots

¡Qué Valor!  de Goya
 « UN contresens grammatical. » Trois académiciens, dont Mme Hélène Carrère-d’Encausse, ont publiquement interpellé en ces termes, le 8 janvier dernier, certaines des - trop rares - femmes ministres du gouvernement français qui revendiquent et ont mis en pratique la féminisation de leur titre. C’est oublier que l’usage du masculin comme genre neutre est le produit, récent, d’une histoire dont l’aspiration à l’universalité a longtemps masqué le racisme et le sexisme. Et que la langue accompagne et marque les évolutions sociales. De la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 à celle, universelle, des droits de l’homme de 1948...(Cliquer sur la date pour lire la suite de l'article tiré du Monde Diplomatique de mars 1998)

samedi 22 janvier 2011

Pommes, cidre et modèle économique (Rebelion)

La campagne est aussi victime de la bulle immobilière parce que les reclassements des terres en zone constructible - ou bien l’espoir qu’elles le soient - sont devenus le moteur de l’économie, la principale source de plus-value ; en effet, si le terrain devient constructible, son prix est multiplié par un nombre à deux chiffres. Avec ce modèle-là, il n’y a pas, et il ne peut pas y avoir, d’agriculture - ni même d’activité industrielle - capable de produire de tels rendements. Et c’est ainsi que des milliers d’hectares constructibles, à 100 euros le mètre carré, et bien d’autres à vocation agricole sur lesquels on fonde l’espoir, sensé ou non, qu’ils soient classés constructibles, échappent à tout usage agricole parce qu’il n’est pas possible de rentabiliser une culture, quelle qu’elle soit, quand on attend que, sans le moindre effort, la valeur du sol soit multipliée par un gros coefficient. En réalité, personne n’interdit de semer ou de cultiver, mais les attentes étant ce qu’elles sont, c’est comme si on l’interdisait.
La boucle est bouclée, d’une part avec la multiplication des grandes surfaces et des grossistes qui accaparent le marché et, d’autre part, avec les délocalisations des services de base, sociaux et culturels, en même temps qu’on fait pression avec des charges fiscales disproportionnées et folles si on les compare aux profits des grands groupes industriels et des sociétés qui jouissent de tant de facilités de crédit et de tant d’avantages fiscaux.
Ce qui est en crise, ce n’est pas seulement le modèle économique, mais c’est aussi la façon de gouverner. Les coupes sociales sont le prix à payer pour l’un et l’autre. La ruine qui nous menace dorénavant est le prix que nous allons payer malgré l’abondance des moyens et des ressources inexploitées dont nous pourrions disposer.
Miguel Ángel Llana
Pour lire la totalité de l'article, cliquer sur le lien

dimanche 16 janvier 2011

Stop à la casse de l'école publique!

« Pour l’école on ne doit pas se priver » : le 22 janvier, mobilisons nous !


L’ensemble des organisations du Collectif « l’école, notre avenir » appelle à une journée d’actions et de manifestations samedi 22 janvier.
Pour les enseignants des écoles ce sera l’occasion de dénoncer les 16 000 suppressions de postes (850 pour l'académie de Lille) : du jamais vu !
quand il n'y aura plus d'école publique (ni de service public) il sera trop tard !
MANIFESTATION A LILLE SAMEDI 22 JANVIER 2011


14h30 Porte de Paris


A lire aussi: Un proviseur renvoie au ministre ses palmes académiques!


http://www.lille.snes.edu/IMG/pdf/img-111172338-0001-2.pdf

samedi 15 janvier 2011

Que l’étincelle tunisienne embrase tout le monde arabe !

  AP / Christophe Ena
Plus de quatre semaines de révoltes populaires, l’armée tire à balles réelles dans la foule, des morts par dizaines, couvre feu, disparition et exécution des syndicalistes, blogueurs arrêtés etc. etc. Ces événements ne se déroulent ni à Cuba, ni au Venezuela, ni en Bolivie, ni en Chine et ni en Iran mais en...Tunisie ! Les pays européens, la France de Sarkozy en tête, prompts d’habitude à s’immiscer dans les affaires iraniennes ou ivoiriennes par exemple, se sont, cette fois contentés de quelques communiqués après des semaines de silence complice : « la Tunisie est confrontée à des problèmes économiques et sociaux. Seul le dialogue permettra aux Tunisiens de les surmonter » disait platement un communiqué du ministère français des Affaires étrangères. cliquez sur la date pour lire la suite

lundi 10 janvier 2011

Le Front de Gauche la joue collectif contre le libéralisme (Nord Éclair)

Le Front de gauche, représenté aux élections cantonales par Roland Diagne et Dominique Guérandel, a décliné son programme. En substance : être une alternative aux méfaits du libéralisme.













MARIG DOUCY > marig.doucy@nordeclair.fr
« Comment faire en sorte que les collectivités territoriales et notamment le Département soient des lieux de résistance au libéralisme ? », s'interroge Roland Diagne, candidat aux cantonales du Front de gauche (lire notre article du 30 décembre).
Des réponses, il en a quelques-unes, bien sûr. « Imposer des cahiers des charges plus contraignants aux entreprises, leur faire rembourser les subventions publiques en cas de licenciement, mieux orienter les dépenses publiques, instaurer une fiscalité sociale... » Car si le militant du CSP (Comité des sans-papiers) ne renie pas les orientations du Département, il estime toutefois que le Conseil général ne va pas assez loin. « Les transports, les collèges, le RSA, tout ça, c'est du social directement ou indirectement. Le Département ne résiste pas suffisamment aux lobbyings. Des débats sont éludés... » Bref, le Front de gauche prône un virage plus à gauche, plus social. Soit renforcer les subventions aux services sociaux. « Arrêter de faire culpabiliser les personnes âgées à la retraite ou masquer l'insécurité au travail et des fins de mois par une prétendue insécurité dans les banlieues ou soi-disant due aux Roms ! », poursuit la suppléante Dominique Guérandel. Défendre l'emploi, augmenter les salaires... Quoi de plus fédérateur ? Cliquer sur la date pour lire la suite


dimanche 9 janvier 2011

"La liberté de pensée s’arrête là où commence le Code du travail"Laurence Parisot medef

Pas d’austérité pour le CAC 40 !



Lors de ses vœux télévisés, Nicolas Sarkozy avait reconnu que l’année 2010 avait été « rude » pour les Français. Toujours à exagérer… Elle n’a pas été rude pour tout le monde ! Le président « protecteur » est là, notamment pour ses amis du CAC 40. Les Vivendi, L’Oréal, AXA, BNP Paribas, Bouygues, Total et autre Lagardère… ont établi un nouveau record de dividendes versées aux actionnaires avec la somme de 40 milliards d’euros distribués début 2011 au titre de l’exercice 2010.....cliquez sur la date pour lire la suite

mardi 4 janvier 2011

On a peur ! Mais de qui ? De quoi ? Par Brigitte Dionnet, Membre du Conseil National du PCF.


pourquoi faudrait-il que le candidat à la présidentielle soit forcément issu du PC?

Pourquoi sommes-nous au PCF, pourquoi nous battons-nous ? Faut-il exister pour nous-mêmes ou pour être utiles au peuple à changer la société ? Nous avons fait des choix correspondant au deuxième terme de l’alternative et initié et impulsé un Front de gauche pouvant être porteur d’espoir et donc de mobilisation. En assumant ce choix, en nous montrant offensifs pour le faire vivre, nous pouvons aller loin. Franchement est-ce « pire » de s’allier avec le PG aujourd’hui que de s’être allié avec Blum en 1936 ou de participer à un gouvernement avec de Gaulle en 1945 ! Cela a-t-il empêché le peuple de France d’avoir des conquêtes formidables, cela a-t-il empêché le PCF d’être fort ? Pourtant les divergences avec la SFIO ou la droite de Gaulle étaient patentes. Alors, la différence aujourd’hui vient peut-être du manque de confiance en nous, en nos idées, en notre combat et nos objectifs. On a peur ! Mais de qui ? De quoi ? Si c’est de la confrontation avec d’autres, du débat avec des femmes et des hommes qui nous entourent sans partager nos points de vue, alors mieux vaut se transformer en secte on sera bien au chaud entre nous sans enquiquineur ! Et pire, si l’on a peur de faire peur à des adhérents, alors on a peur de nous-mêmes. Voulons-nous cet avenir ? Je ne m’y résigne pas. (cliquer sur la date pour lire la suite)

Brigade anti- vieux 2